ANDREA
CIULU
a005
Andrea Ciulu is an Italian artist based in Rome. Andrea's work falls within the genre generally called "post-photography." Fascinated by how memories, dreams, and the imaginary intertwine and transform into an altered and distorted representation that our consciousness eventually considers real, Andrea uses AI as a kind of "artificial memory," which, just like ours, creates imperfect and hallucinatory memories of past moments of life. His work, both disconcerting and captivating, evokes memory, nostalgia, disorientation, and invites us to dive into memories altered and transmuted by time, where blurry and fragmented visions of the past reveal echoes of his country, his region, and glimpses of childhood. A place that no longer exists... His series "Seaborn" revolves around childhood by the sea, showing familiar scenes of daily life. On one side, light from the sky, open spaces, seashores, and on the other, degradation, erosion, linked to time, the sea, and salty winds. Nothing lasts, everything fades, transforms. Perspectives are altered, materials and shapes blend, just like in memories.
Andrea Ciulu est un artiste italien, basé à Rome. Le travail de Andrea s'inscrit dans le genre que l'on appelle généralement « post-photographie ». Fasciné par la façon dont les souvenirs, les rêves et l’imaginaire s'entremêlent et se transforment en une représentation altérée et déformée que notre conscience finit par considérer comme réelle, Andrea utilise l’IA comme une sorte de « mémoire artificielle », qui, tout comme la nôtre, crée des souvenirs imparfaits et hallucinatoires de moments passés de la vie. Son travail, à la fois déconcertant et envoûtant, évoque la mémoire, la nostalgie, la désorientation et nous invite à plonger dans des souvenirs altérés et transmutés par le temps, où des visions troubles et fragmentées du passé révèlent des échos de son pays, de sa région, et des aperçus de l'enfance. Un lieu qui n'existe plus… Sa série "Seaborn" est une série autour de l’enfance en bord de mer. Montrant des scènes familières d’un quotidien. D’un côté la lumière provenant du ciel, des espaces ouverts, des bords de mer, et de l’autre la dégradation, l’érosion, liée au temps, à la mer, et aux vents salés. Rien ne dure, tout s’efface, se transforme. Les perspectives sont altérées, les matières et les formes se mélangent, comme dans les souvenirs.